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- SakuraAdmin
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Date d'inscription : 17/06/2009
Zárva réagissait au moindre fait et geste de Dawson, son corps ne pouvant rester immobile sous ses bons soins délicats. A part avec Lionel, elle n'avait jamais connus ça, son oncle effaçant tout sentiment de bien être. Mais elle n'avait plus à y penser, car ni Lionel, ni son oncle n'interviendraient de nouveau dans sa vie. L'un était parti, l'autre vivait dans son monde des affaires. Finalement, il y avait vraiment peu de chance pour qu'elle les revoit, à part peut-être son « tuteur » s'il décidait un jour de venir se distraire dans cet hôtel, mais il serait sans doute trop occupé pour cela. Il se défoulait sur Zárva juste parce qu'elle était à porté de main, sinon, il aurait fait autrement. Peut-être qu'il a acheté un esclave. Oui, c'est possible, c'est une idée. Ce n'était certainement pas sur un domestique du manoir qu'il allait se défouler, surtout qu'il ne lui appartenait pas, et puis s'il les « abîmés », qui allait s'occuper de son domaine en son absence ?
Mais pourquoi fallait-il qu'elle pense à son oncle dans un instant pareil. Franchement, pour pourrir sa vie, ce mec, il était doué ! Mais le fait d'être subitement relever ramena complètement Zárva à la réalité. Son esprit restait cependant quelque peu « ailleurs ». En plus d'être constamment hanté par les fantômes de son passé, elle devait lutter contre sa moitié qui ne demandait qu'à sortir. Mais si elle prenait la peine de se forger un mur autour d'elle, ce n'était pas non plus pour laisser sa moitié refaire surface. Pour se protéger du monde extérieur, la jeune fille n'avait eu d'autre choix que de faire celui-ci, pour que plus rien ne puisse l'atteindre et lui faire du mal. En s'attachant à Lionel, elle avait commise une grave erreur, et ce n'était pas pour la recommettre à présent avec ce Daw. Zárva devrait toujours laisser une certaine distance entre elle et les gens qui l'entoure, ne pas leur permettre de se lier à elle, tout comme la jeune fille ne devait s'attacher à eux. C'était la seule façon possible pour qu'elle ne souffre pas. Elle était prisonnière d'elle-même.
La chaleur qui se dégageait du corps de Daw l'enveloppait de nouveau délicatement, l'envoûtant. Ses doigts se posèrent sur le torse de son client, sentant sa douce peau lui faisait envie, se laissant posséder à travers ce baiser, elle ferma délicatement ses paupières. Ses mains glissèrent lentement dans la nuque de son gentil monsieur, savourant un instant ses lèvres, sa langue se mêlant à la sienne. Quand le lien fut brisé, la jeune fille plongea ses yeux cobalt dans ceux de Dawson, s'y plongeant inlassablement. A présent, elle ne penserait plus qu'à lui et lui seul. Enfin du moins, elle essayerait. La phrase qu'il prononça la fit sourire. Pour toute réponse, elle déposa délicatement ses lèvres sur sa joue, les déplaçant doucement jusque vers son oreille qu'elle se mit à mordiller tendrement pour ensuite murmurer dans un souffle tiède.
« Ne vous en faîtes pas, je n'ai pas oublié, mais vous étiez si bien partis, je n'ai pas osé vous interrompre
»
Ces mots dit, Zárva glissa ses mains le long du torse de son client, effleurant délicatement sa peau avec soin. Ses lèvres quant à elles vinrent desscendre dans son cou, venant lécher ou mordiller alternativement sa peau, s'amusant légèrement avec lui. La jeune fille descendait sa langue lentement, retraçant les traits de sa clavicule tout en jouant toujours subtilement avec sa peau. S'il avait voulut la dévorer auparavant, c'était à présent à son tour dans faire de même. A sa manière. Ses mains s'étaient posées sur les hanches de Dawson, les caressant finement, passant dans le creux de son dos, remontant lentement le long de sa colonne vertébrale pour repasser par la suite sur son torse, les doigts d'une de ses mains vinrent titiller malicieusement un petit bout de chair sensible tandis que la deuxième main vint remonter dans le cou de Daw. Les lèvres de Zárva se décollèrent peu à peu de la peau de celui-ci, plongeant de nouveau son regard dans le sien.
« Laissez moi prendre soin de vous, je prendrais soin de vous faire mourir de plaisir et de désir. »
Mais pourquoi fallait-il qu'elle pense à son oncle dans un instant pareil. Franchement, pour pourrir sa vie, ce mec, il était doué ! Mais le fait d'être subitement relever ramena complètement Zárva à la réalité. Son esprit restait cependant quelque peu « ailleurs ». En plus d'être constamment hanté par les fantômes de son passé, elle devait lutter contre sa moitié qui ne demandait qu'à sortir. Mais si elle prenait la peine de se forger un mur autour d'elle, ce n'était pas non plus pour laisser sa moitié refaire surface. Pour se protéger du monde extérieur, la jeune fille n'avait eu d'autre choix que de faire celui-ci, pour que plus rien ne puisse l'atteindre et lui faire du mal. En s'attachant à Lionel, elle avait commise une grave erreur, et ce n'était pas pour la recommettre à présent avec ce Daw. Zárva devrait toujours laisser une certaine distance entre elle et les gens qui l'entoure, ne pas leur permettre de se lier à elle, tout comme la jeune fille ne devait s'attacher à eux. C'était la seule façon possible pour qu'elle ne souffre pas. Elle était prisonnière d'elle-même.
La chaleur qui se dégageait du corps de Daw l'enveloppait de nouveau délicatement, l'envoûtant. Ses doigts se posèrent sur le torse de son client, sentant sa douce peau lui faisait envie, se laissant posséder à travers ce baiser, elle ferma délicatement ses paupières. Ses mains glissèrent lentement dans la nuque de son gentil monsieur, savourant un instant ses lèvres, sa langue se mêlant à la sienne. Quand le lien fut brisé, la jeune fille plongea ses yeux cobalt dans ceux de Dawson, s'y plongeant inlassablement. A présent, elle ne penserait plus qu'à lui et lui seul. Enfin du moins, elle essayerait. La phrase qu'il prononça la fit sourire. Pour toute réponse, elle déposa délicatement ses lèvres sur sa joue, les déplaçant doucement jusque vers son oreille qu'elle se mit à mordiller tendrement pour ensuite murmurer dans un souffle tiède.
« Ne vous en faîtes pas, je n'ai pas oublié, mais vous étiez si bien partis, je n'ai pas osé vous interrompre
»Ces mots dit, Zárva glissa ses mains le long du torse de son client, effleurant délicatement sa peau avec soin. Ses lèvres quant à elles vinrent desscendre dans son cou, venant lécher ou mordiller alternativement sa peau, s'amusant légèrement avec lui. La jeune fille descendait sa langue lentement, retraçant les traits de sa clavicule tout en jouant toujours subtilement avec sa peau. S'il avait voulut la dévorer auparavant, c'était à présent à son tour dans faire de même. A sa manière
. Ses mains s'étaient posées sur les hanches de Dawson, les caressant finement, passant dans le creux de son dos, remontant lentement le long de sa colonne vertébrale pour repasser par la suite sur son torse, les doigts d'une de ses mains vinrent titiller malicieusement un petit bout de chair sensible tandis que la deuxième main vint remonter dans le cou de Daw. Les lèvres de Zárva se décollèrent peu à peu de la peau de celui-ci, plongeant de nouveau son regard dans le sien. « Laissez moi prendre soin de vous, je prendrais soin de vous faire mourir de plaisir et de désir.
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