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Sakura
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Sakura
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Date d'inscription : 17/06/2009

Sujet : Rinlan Aoi

rédigé le Lun 21 Sep - 17:52

Rinlan Aoi

「 Souriez, car vos dents ne sont pas faites que pour mordre ou manger. 」


Nom Rinlan
Prénom Aoi
Surnom La squale
Age 23 ans
Groupe Sanguin A+

Nationalité Japonaise
Ethnie 5-HT
Orientation SexuelleConnait pas ce mot.
Profession/Etudes Monitrice de plongée
Situation financière Bonne, elle peut s’offrir des extras après avoir payé la bouffe du mois, les impôts, la location de son appartement.
Autre Daltonienne

Rinlan Aoi  83cz

▬ ft. Rinlan de Koyorin
Code : [Nae: OK pour cette fois]


SEXE Féminin
TAILLE 1.65
CARRURE Brindille musclée et mignonne
CHEVEUX Cheveux gris avec deux mèches blanches de chaque côtés des tempes. Ils lui tombent sur la nuque sans trop dépasser les épaules.

YEUX Bleus aigue-marine cerclée de rose
SIGNE DISTINCTIF *Une peau grisâtre avec des motifs blancs en forme de cercle sur le corps. Les denticules dermiques se reflètent au soleil et à la lumière lorsque sa peau est mouillée. De discrètes pores qu’on pourrait prendre pour des tâches de sons trahissent ses ampoules de Lorenzini.
*Des oreilles effilées comme celles des elfes. Arrêtez-vous là les groupies des elfes et remballez vos papiers et vos crayons, elle ne fait pas d’autographe. Merci bien.
*Une dentition de plusieurs rangées de dents particulièrement aiguisée. Si une dent est abîmée ou cariée, elle finit par tomber et remplacée par une nouvelle dent. C’est de la polydontie.


Anomalie ▬ Elle est le produit d’expériences inspirées du requin. Contrairement aux sujets dont la structure osseuse a été modifiée pour leur permettre d’exercer toute la puissance d’une vraie mâchoire de requin, son visage conserve la plupart de ses traits humains à l’exception de ses oreilles pointues et sa dentition aiguisée. Sa mâchoire a la force d’une mâchoire humaine. Vous n’aurez pas à craindre de vous faire arracher une jambe. Ou un bras. Ou une main comme le scientifique qui a eu le malheur de saigner en présence d’un cobaye.

Sa peau bleue n’est pas là pour faire jolie, le revêtement en denticules dermiques doublé d’un corset cutané complexe fait de fibres de collagène flexibles et disposées de façon hélicoïdale en réseau autour de leur corps donnent à son corps un excellente pénétration dans l’eau et lui offrent une protection renforcée contre les morsures. Malheureusement, l’avantage en hydrodynamisme est en partie annulé par l’absence de nageoire et de branchies. Elle n’ira pas aussi vite que ses congénères équipés de ce qui lui manque sous l’eau, par contre, la terre ferme lui est accessible !

En ce qui concerne les sens, son odorat est si fin qu’il peut détecter la moindre goutte de sang et d’excréments en faible quantité jusqu’à 75 mètres de distance. Ce qui a tendance à exacerber une agressivité animale qu’elle tente de contrôler. Vous n’avez rien à craindre. Vraiment. Vous n’êtes pas un casse-croûte. La liberté lui a apportés une myriade de nouvelles odeurs. La vue ? Elle est daltonienne. Elle ne perçoit pas certaines couleurs. Et, c’est normal quand on a une vision censée être aquatique à la base. Ce que les chercheurs de son laboratoire considèrent comme leur plus grande réussite ce sont ses ampoules de Lorenzini qui agissent comme un sixième sens lui permettant de percevoir les champs électromagnétiques et les gradients de température. Le monde extérieur au laboratoire est rempli d’interférences ! Tous ces portableeeeeees ! Insupportableeee !


Une petite description des choses qu’elle aime et qu’elle déteste vous aidera à vous faire une idée sommaire. Elle aime les massages. Elle apprécie le contact avec l’eau que ce soit de l’eau de mer, de piscine ou de la douche. S’immerger dans les abysses la déconnecte d’un monde où les appareils électroniques abondent. Rinlan s’attache à collectionner les peluches dont elle garnit son appartement, son sens de la décoration intérieure est particulier avec son daltonisme. De nombreuses photos tapissent son mur d’appartement et sa page LINE ; son visage par un mystérieux hasard de la modification génétique conserve une touche d’innocence enfantine si bien qu’on lui donnerait volontiers 10 ans de moins.

Ce qu’elle n’aime pas, c’est qu’on s’en prenne à ses proches, surtout son dictionnaire. Celle qui lui explique tout ce qu’elle ne comprend pas. Rinlan aime l’entendre expliquer patiemment le concept d’un sex-shop avec une expression de poker face sur le visage. Ce n’est qu’un exemple parmi les autres qui montre ses lacunes du monde extérieur. La squale a l’habitude de détourner la conversation vers un autre sujet quand on en vient au sujet de sa nature. Souvent en s’émerveillant pour une peluche ou une image de peluche postée sur le Réseau LINE. C’est de cette manière que sa meilleure amie sait qu’elle ne veut pas répondre.

Rinlan semble fière de son corps et de ses réussites dans le milieu de la plongée marine mais paradoxalement s’avère capable d’être puérile et farceuse. Le laboratoire l’a vaccinée contre la pudeur. Son humour tourne souvent autour des requins, de l’hygiène buccale et des dents. Il est difficile d’imaginer qu’elle a été la solitaire 125 quand elle était enfermée au laboratoire. Seulement, dès que la moindre goutte de sang coule, son passé ressort plus ou moins brutalement. Elle peut agir comme un vétéran de guerre devant les plaies et les os brisées en gardant son sang-froid et passer ensuite une nuit à subir des flashback de son passé, bref, des cauchemars. Si, c’est elle qui cause les blessures, ce sera au point de mettre hors d’état de nuire la victime.


▬ Votre avis vis-a-vis des autres 5-HT ?
Le laboratoire lui a appris que ses congénères sont plutôt redoutables quand ils sont conçus pour être des armes comme elle. Pour ceux créés dans d’autres buts, elle ne ressent pas de pitié ou de peur. Elle n’aime pas ce qu’elle est ou plutôt elle n’aime pas l’objectif supposé de sa création.
▬ Quels sont vos avis sur les autres races?
Elle pense qu’elle a nettement plus de crocs que les Upyrs. Deux canines, ce n’est pas suffisant pour l’impressionner. Peu importe à quel point leurs bras sont longs, la squale les rongera.Les Z/T ? Que leur existence est pratique pour elle quand on la prend à tort pour un membre de la race zoanthrope.
Quant aux Re:H, elle est plus mitigées pour avoir vu leurs multiples visages. A ses yeux, ils peuvent être pires que les Upyrs et les Zoanthropes. Elle ne laisse pas pour autant son expérience du laboratoire la définir dans ses relations sociales. Elle veut croquer la vie à pleine dents.
▬ Quels sont vos relations avec les ASP ?

Elle n’a parlé qu’une fois à un membre de l’ASP. Le jour de sa liberté. Elle trouve qu’ils posent beaucoup de questions auquel on n’a pas forcément envie de répondre. Elle sait bien qu’ils sont là pour protéger la population mais elle ne les attendra pas pour se défendre elle ou ses proches.

C’est l’histoire d’une cobaye de laboratoire.

C’est l’histoire d’une arme. D’un outil créé pour la guerre.

C’est l’histoire de 125.

C’est aussi l’histoire d’une jeune fille projetée dans un nouveau monde.

C’est l’histoire d’une arme qui tente d’apprendre l’humanité.

C’est l’histoire de Rinlan Aoi.


Tout commence dans l’ombre d’un laboratoire illégal à l’abri du regard de l’ASP où se sont rassemblés des généticiens perfectionnistes, des mercenaires ex-forces spéciales cupides à la solde de mystérieux et puissants investisseurs qui avaient la clairvoyance de voir au-delà des milliers, des millions de morts entraînées par la catastrophe Shinigami. Ils voient au contraire l’émergence des métaphysiques comme la preuve que la modification génétique est une science d’avenir. Et une mine d’or qui augmenterait leur fortune. De plus, le coming out des Zoanthropes et des Upyrs ouvrent de nouvelles perspective comme l’attrait de la longévité ou de l’immortalité.

Ils agréèrent d’abord la création d’armes de guerre pour convaincre les armées des nations de l’utilité militaire de la modification génétique et accessoirement empocher des contrats juteux. Mais leur projet ne s’arrête pas là. Ils voient un monde où les handicaps peuvent être éradiqués par la thérapie génique, un monde où les parents pourraient décider des caractères génétiques de leur enfants, un monde où chaque individus pourraient avoir les traits qui lui plaisent, un monde où les hommes pourraient respirer dans l’espace, le milieu le plus hostile à l’homme, conquérir le système solaire, un monde où les riches pourraient satisfaire toutes leurs envies avec des serviteurs spécialement conçus pour ces choses et peut-être même bénéficier de l’immortalité. Peu leur importe de sacrifier des sans domicile fixes, des détenus enlevés, des orphelins pour les besoins des expériences, des mères porteuses et des bébés-éprouvettes pour poursuivre cette utopie eugéniste.

Curiosité.

Cupidité.

Orgueil.

Luxure.

Envie.

Ces éternels péchés ont donnés naissance à 125 et ses congénères. Un chiffre et des chiffres qui n’ont pas le droit à l’humanité. Des chiffres qui témoignent du nombre d’expériences et d’échecs qui se sont déroulés entre ces murs blancs. Inspirées d’un surprédateur du règne animal, le requin, ils possèdent les caractéristiques qui varient d’un sujet à l’autre mais tous partagent une grande sensibilité olfactive. Saigner en leur présence est dangereux à l’image des Upyrs. Il est arrivé que les mercenaires, peu nombreux, interviennent pour séparer un scientifique d’un cobaye violent qui se fait un petit en-cas. Il est arrivé qu’on contraigne les cobayes à se battre sur le plancher de vaches et sous l’eau. Il y a eu des blessures, et plus rarement des morts lors des combats. C’est regrettable de perdre des sujets d’expérience de cette façon mais il ne fallait rien gaspiller. Collecte d’ADN, dissection du corps et vente d’organes sur le marché noir.

Le règlement du laboratoire interdit au personnel de s’appeler par leurs noms, de donner une idée de la localisation du laboratoire et d’apprendre aux enfants le monde extérieur. S’il avait été appliqué à la lettre, ça aurait été parfait. Le personnel se familiarisant les uns les autres finit par parler de petits potins interne et du monde extérieur. Dès six ans, un mercenaire surnommé Gaijin et parfois « Américain » par les scientifique lui apprit à démonter et remonter entièrement un pistolet, à tirer et à se battre. Puis un généticien, appelons-le Rinlan, qui avait perdu sa petite fille dans un accident commença à voir en 125 le visage de sa fille chérie. Il apporta en secret un livre, Le petit prince, qui apprit au cobaye n°125 la valeur de l’amitié. Cette histoire amena un certain lot de question car bien des mots lui était encore étranger comme le désert ou l’avion. C’est dans cette ambiance que grandit Rinlan Aoi.

À 12 ans, 125 sait par coeur Le petit prince qui la réconforte après les expériences difficiles. Bout à bout, les conversations des scientifiques lui permettent de comprendre que c’est interdit ce qu’ils font depuis la catastrophe Shinigami. Une histoire de tomate mutante. Mais c’est quoi au fait une tomate ? Une arme plus puissante qu’un pistolet en tout cas. C’est certain. Elle se promit de ne pas y goûter, ça ne se mange pas les armes qu’elle connait. La jeune fille attend avec impatience l’arrivée de Rinlan, il lui lira encore une page du petit prince ! Elle ne s’en lasse pas après toute ces années. Mais ce jour-là, quand il arrive, ce fut dans un tout autre but. L’emmener.

L’emmener !

Il lui promet que tout allait changer avant de l’endormir et de la charger sur le chariot et de la recouvrir d’un drap. Le scientifique prit le temps d’extraire la puce de géolocalisation implantée et d’attacher à son poignet une plaque de métal sur lequel est gravé deux mots :

Rinlan Aoi

Le nom d’une personne décédée. Le nom de la fille disparue du scientifique.

Rinlan quitte le bâtiment avec la jeune fille en faisant croire à ses collègues qu’il s’occupe d’un cadavre de cobaye. Il se dirige vers la voiture qu’il a planqué pas loin alors que le mercenaire gaijin réalise la supercherie et se lance à leur poursuite. Trop tard pour les arrêter. Mais trop tôt pour que la voiture échappe à ses tirs. Le mercenaire gaijin jure. Il faut arrêter ce cinglé ou ce pourrait être la fin de son emploi ! Voire même la prison ! L’homme découvre rapidement que la puce est une fausse piste, l’enfoiré a même eu la présence d’esprit de la fourrer dans une autre voiture ! Il s’est fait bien balader !

Le bref éveil de son coma est provoqué par l’odeur riche du sang. Beaucoup de sang. 125 s’aperçoit qu’il appartient à l’homme sur le siège de conducteur évanoui. Elle entend ensuite les sons de sirènes d’ambulance et de police. Des sons nouveaux. La jeune requin distingue la barrière de sécurité qu’a percuté la voiture à allure lente, et au-delà les arbres d’une forêt. Tout est flou. De l’autre côté de la portière, elle voit les formes humaines qui s’organisent pour fluidifier le traffic et sécuriser l’accident tandis que d’autres ouvrent la porte, prennent le pouls de l’homme et… 125 veut faire quelque chose mais très vite sa conscience retombe dans les vapes du coma anesthésique.

En reprenant conscience, elle se découvre dans un lit d’hôpital et à côté se trouve une personne qui a une prestance n’appartenant qu’aux membres de l’ASP. Elle lui offre un requin en peluche histoire de briser la glace. C’est la première qu’elle découvre un spécimen de l’espèce à partir de laquelle elle a été créé. Et c’est tout doux ! Et à elle ! 125 apprit trois choses ce jour-là. Qu’elle aime les câlins. Qu’elle irait dans un orphelinat. Et que Rinlan est dans le coma. Finies les histoires du petit prince bercé par sa voix ! Après lui avoir annoncé ces nouvelles, cette personne lui posa des questions mais elle reste silencieuse, méfiante. C’est un inconnu ! Le membre de l’ASP finit par sortir presque bredouille. Presque. Parce qu’il devine que c’est une 5-HT sans identité légale et l’homme, un généticien d’après les informations dont l’ASP dispose. Pour lui, l’accident est très clair, ce n’en est pas un ; il s’agit de blessures par balles ayant provoquée une hémorragie chez le conducteur. Il n’est pas stupide, hein ? Mais, officiellement, ce sera un accident de voiture. Il sait que trouver et fermer ce laboratoire illégal ferait avancer sa carrière. C’est incroyable que même après leur fermeture officielle, ils continuent d’exister.

La profusion d’odeurs et de champs électromagnétiques lui tournèrent la tête alors que la voiture l’emmène à l’orphelin. Ces nouveautés sont oppressantes. Ses papiers ont été établis au nom de Rinlan Aoi. Déposée à l’orphelinat, elle est prise en charge par une dame qui le montre le dortoir fille où elle est accueillie par une fille super bavarde ! Cette fille devint sa meilleure amie et accessoirement son dictionnaire de poche pour les concepts qu’elle ne comprenait pas. Eh oui, l’éducation dans un laboratoire de recherche est très lacunaire. Rinlan Aoi gardera le bracelet, l’exemplaire du petit prince et la peluche requin toute ces années à l’orphelinat. Elle apprit à s’épanouir en tant qu’enfant après avoir été forcée d’être une adulte la première décennie de son existence. En perspective à l’orphelinat, des câlins, des amitiés et encore plus importants des peluches ! Je répète des peluches. Des P.E.L.U.C.H.E.S.

Dix ans plus tard, Rinlan Aoi se rend à l’hôpital pour lire une histoire à un patient. Le titre du livre ? Le petit prince. Elle salue le personnel soignant et prend la place du siège dans la chambre spécialisée dans les longs comas puis commence à lire l’oeuvre. Vous aurez deviné, il s’agit du scientifique qui l’a tirée du laboratoire pour des motifs pour le moins égoïste. Une fois qu’elle a terminée, elle quitte l’hôpital pour se rendre à la piscine. Rinlan y est connue pour ses diplômes de plongée, de natation et de secourisme. Oui, elle est monitrice de plongée mais pas que. Son autre boulot consiste à renflouer les épaves au fond de l’eau. Là-bas, elle fait ses longueurs avant d’arrêter pour aller au bar où sa copine bavarde l’attend.

Quelques verres d’alcool et un tour aux toilettes plus tard, sa copine s’avère avoir disparue. Rinlan sort du bar après s’être rendue compte qu’elle n’y es plus puis sent l’odeur caractéristique de son sang dans la petite ruelle non loin de la boîte. En s’y dirigeant, elle vit un Upyr en train de se repaître du cou de son amie. Des flashbacks de son enfance dans le laboratoire lui traversèrent l’esprit. Il y a si longtemps qu’elle n’y pensait plus. La rage l’envahit alors qu’elle s’approche à grand pas de l’Upyr occupé par sa proie. Il découvrit le sens de l’expression « battu à mort » et se retrouver gémissant sous la pluie, les os brisés. La faculté de régénération est bien pratique mais dans certains cas ce pouvait être le pire de dons. Comme sentir ses os se ressouder de travers. La zoanthropes allait le lui payer ! Il appartenait à une organisation de yakuzas et à la plus noble des races terrestres !


Rinlan ramèna son amie, heureusement évanouie, à son appartement, la déposa sur son canapé rempli de peluches. Elle prit soin de la mettre à l’aise et de la recouvrir d’une couverture. La soirée avait bien commencé avant que cet Upyr ne joue les trouble-fêtes, Rinlan espère que son amie aura oublié à la faveur de l’alcool, elle est sûre qu’elle n’a pas vu ce qu’elle avait fait de l’Upyr. Elle se déshabille puis prend une douche, l’eau ayant le don de l’apaiser et de lui remettre les idées en place. En sortant, la squale s’arrête pour contempler le visage apaisée de son amie en éprouvant un sentiment insaisissable, elles sont des amies inséparables depuis l’orphelinat. Nombres de photos accrochées au mur le prouvent : elles en maillot de bain, elles jouant à un match de Beach Volley, elles faisant la grimace à l’appareil enterrées sous les peluches. Mais ce soir, le pire d’elle-même est ressorti.



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